Le cabinet
Avocat au Barreau de Chambéry, je suis spécialiste en droit du dommage corporel (Certification délivrée par le Conseil National des Barreaux) membre de l’Association Nationale des Avocats de Victimes (ANADAVI) ainsi que de l’Association Européenne d’étude des traumatisés crâniens et de leur réinsertion qui a son siège à Bruxelles (EBIS) .
Je suis par ailleurs titulaire du Master2 Droit du Dommage Corporel – délivré par l’Université de Savoie ainsi que du DIU Traumatisme crânien de l’enfant et de l’adolescent (faculté de médecine Paris VI).
J’interviens également en Master 1 et 2 Droit du Dommage Corporel à l’Université Savoie Mont Blanc.
Je choisis de m’engager aux côtés des victimes de dommage corporel.
Que signifie cet engagement?
D’abord, il requiert d’être totalement indépendante des compagnies d’assurance. Je le suis, et n’envisage nullement les choses autrement.
Ensuite, il suppose une compréhension et une écoute bienveillantes de la victime afin de recueillir sa parole dans des conditions de confiance mutuelle et de sérénité. C’est bien banal que de dire que l’on est animé par un profond sentiment d’humanité. Banal peut être. Sans doute. Mais c’est pourtant ce sentiment chevillé au corps qui m’a guidé vers la profession d’avocat.
Enfin, une victime d’un dommage corporel doit pouvoir être indemnisée intégralement. C’est cette « folie » du droit qui veut que l’on puisse replacer la victime dans la situation qui était la sienne avant le dommage. « Folie » du droit, ou plutôt fiction qui veut que la réparation intégrale passe par l’argent.
Pour être correctement indemnisée, une victime doit pouvoir être correctement assistée, défendue, représentée.
C’est donc un engagement au long cours qui est le mien.
Celui d’être présente dès les premiers instants de la procédure, et notamment au moment déterminant pour la suite qu’est l’expertise médicale. C’est une phase clé. C’est la raison pour laquelle je m’entoure des compétences d’un médecin conseil qui apporte la voix médicale, ou plutôt devrai-je dire, la contre-voix pour argumenter, justifier, convaincre de la réalité des dommages corporels de la victime.
Et puis bien évidemment, devant le juge: traduire en mots une souffrance physique, psychologique, sans sombrer dans le pathos.
Mon travail est essentiellement un travail d’individualisation. Je ne cherche pas à faire rentrer une victime dans une case: une amputation d’une main n’a pas les mêmes conséquences pour un enseignant que pour un ébéniste par exemple, encore qu’elle soit traumatisante pour l’un et l’autre.
Je mets toute mon énergie au service de victimes parfois gravement atteintes: traumatisés crâniens sévères, polyhandicapés.
Je les accompagne non seulement sur le chemin de l’indemnisation mais également les conseille et les oriente pour toutes les démarches administratives spécifiques (MDPH, assistantes sociales, psychologues, ergothérapeutes…).
N’hésitez pas à prendre contact avec notre Cabinet.
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